A propos de l’auteur


Hello !

J’ai surtout ouvert ce blog pour y stocker comme dans un fourre-tout des infos sur les sujets qui me passionnent.

Ce n’est pas des tutos. Free Electrons fait ça très bien.

http://free-electrons.com/wp-content/uploads/2010/08/website-banner1.jpg

N’ hésitez pas à laissez un commentaire, voire un petit bonjour, si vous partagez les mêmes passions.

Je suis retraitée. Je travaillais dans le domaine de l’informatique industrielle, où j’ai débuté en 1975, après avoir bossé quelques années dans un laboratoire d’électronique de pointe, qui venait de passer au numérique. Labo spécialisé dans la conception de chaînes de mesures pour l’industrie.

Et un jour j’ai croisé un T2000, voilà.. c’est parti pour l’info industrielle, mais je connaissais un peu ce milieu, de par mon job précédent et l’adaptation fut facile..

Une photo de son petit frère le T1600.

Crédit photos : http://50ans.imag.fr/documents/ExpoT1600.html

T1600


http://50ans.imag.fr/images/galerie/Source/T1600-5.jpg

Le pupitre opérateur :

T1600

Le clavier et l’écran 🙂

Télétype

Un bac de cartes :

Il n ‘ y avait pas encore de microprocesseur, et toute l’unité arithmétique et logique est cablée avec des portes NAND.

Un peu plus tard, toujours en attendant les micros processeurs 16 bits est arrivé un calculateur avec des instructions microprogrammées, ce qui a beaucoup réduit le bac de cartes.

T1600

Le bus PCI d’antan…;)

T1600

Puis j’ai travaillé avec d’autres calculateurs industriels, en particulier les Solars. avant que Bull coule la boite qui les fabriquait : la SEMS, comme ils ont coulé toutes les boites que l’ Etat a obligé de fusionner avec le monstre.

SEMS était deuxième exportateur mondial de calculateurs industriels.
mais ce n’est pas le même métier, les mêmes clients.

Solar


http://fr.wikipedia.org/wiki/Solar_%28ordinateur%29

Tout en faisant du développement, et des mises en services, j’ai gardé cette passion du hardware.

Il faut bien reconnaître que le hardware, les composants, c’est la clé de voute du progrès, comme le faisait déjà remarquer F-H Raymond ( voir la rubrique Histoire de l’informatique ).

Pas seulement dans l’informatique, une télévision d’aujourd’hui tient dans quelques circuits intégrés , et on pilote les chips pour changer de canal ou augmenter le volume ou le contraste avec un bus I2C, ce qui a simplifié le cablage, et donc réduit le coût des télés..

Aujourd’hui retraitée , j’ai encore cette passion d’aller voir dans les docs , comment sont foutus ces chips..

Bien sûr j’étais un peu frustrée avec les processeurs de PC , des processeurs CISC. Le temps d’étudier les 4 ou 5 000 pages de doc, ils ne sont plus sur le marché.

Je suis également l’actualité de ces métiers qui ont beaucoup évolué et ce qui se fait aujourd’hui au Pole de Recherche en nanotechonologies de la silicon valley grenobloise , où j’ai débuté : Minatec

Un métier passionnant parce qu ‘on sort de l’écriture de lignes de code.

Une des particularités est qu’il exige d’avoir une bonne culture « risques » et oblige à connaître les processus industriels que l’on pilote.

L’analyse de risques et la sureté de fonctionnement sont le socle de ce métier.

Un bug dans une installation industrielle pourrait avoir ce genre de conséquences dramatiques :

catastrophe

catastropĥe


Les causes de cet accident dans une centrale hydroélectrique ne sont pas liées à un bug informatique, mais à une mauvaise étude de risques, et on ne peut ignorer l’ensemble.

Je m’ennuyais un peu à essayer, comme tout le monde la dernière distro Linux, où le dernier KDE, aussi je suis passée aux BSD.

L’autre sujet qui me passionne est la sécurité des systèmes informatiques.

Puis je me suis intéressée aux processeurs ARM et aux Linux embarqués et temps réel.

Ca donne l’occasion de replonger dans le coeur du microprocesseur, dans le schéma des cartes, les datasheets des µprocs et des autres composants…

Bien sûr on doit pouvoir développer des apllications sans s’interresser à ce qu ‘il y a dedans, en utlisisant un système de développement, et un OS conçu pour..

Mais est ce que je vais mettre un OS et compiler un bout de programme en langage évolué pour tester ma carte ? devant un T2000 , on écrivait et on codait de tête un bout de programme qu’on rentrait aux clés.

Enfin si on doit utiliser la fonction de debug, on a le contenu des registres, et il est indispensable de connaître le langage assembleur.

Bien sûr, à propos du scheduleur, j’ai lu chez Texas qu’il ne faut pas réinventer la roue. Mais il y a une telle variété dans les systèmes d’interruptions des processeurs ARM ( au point que ça conditionne le choix du processeur ), et comment fait – on pour vérifier l’éxécution , les priorités , la synchronisation des tâches, d’une grosse appli temps réel, si on ne sait pas où choper les informations. Lorsqu ‘une tache est lancée toutes les 100 millisecondes, pas question de mettre 100 instructions lorsque deux ou trois suffisent, pour ne pas perturber le fonctionnement du scheduleur et de toute l’application.

Combien d’instructions assembleur avec un programme écrit en C, pour déterminer une année bissextile ? Quelle durée si la division n’est pas cablée comme sur les petits microprocesseurs, ce qui oblige à faire une routine de divison, et comment éviter le fameux bug de l’an 2000. en assembleur , si on a compris les propriétés du binaire, il en faut trois pas plus. Et ce n’est pas le seul exemple.

Dans le Temps Réel, l’ennemi c’est la durée des tâches.

Pour le traitement des données on fait pas mal de calculs avec une période d’échantillonage , pour calculer des dérivées. Cette période de mesure ne doit pas fluctuer, sinon tous les calculs sont faux.

http://users.polytech.unice.fr/~leroux/courssignal/courssignal.html

Idem pour les mesures de période, pour calculer une vitesse de rotation avec un capteur qui donne une impulsion par tour.. il est intéressant de calculer la précision d’un tel système.

C’est particulièrement vrai dans la MAO, pour les filtres, et pour déterminer les fréquences harmoniques qui composent un signal son, sinon la musique risque de ressembler à celle des magnéto à K7 dont la vitesse fluctuait : le pleurage..qui donne un son déplorable.

La qualité du son passe par une fréquence d’échantillonage plus élevée ( 192 kHz ), qu’on ne trouve pas dans les cartes son ordinaires des PC et encore moins dans les processeurs ARM, suffisants pour la téléphonie. C’est le domaine d’ Analog Device, spécialisé à l’origine dans les convertisseurs analogiques numériques de précision..

Replonger dans ce domaine de l’informatique et de la microélectronique ça vaut une bonne partie d’échecs, ou le dernier épisode de Derrick, et ça éloigne Alzheimer.

carte de développement

Le blog est donc rédigé un peu en vrac au fur et à mesure de mes trouvailles, de mon temps libre et de mes centres d’intérets….

Si vous avez des informations à apporter , n’hésitez pas.

Il m’arrive de me lâcher un peu, en particulier contre les SI, dont je déplore la façon de travailler. Quand on voit ces projets comme le DMP ou Chorus. c’est tout simplement lamentable. ( il y a quelques billets sur le sujet dans la gestion de projets )

Si dans l’info industrielle on a réussi à remplacer des opérateurs humains, bien souvent les SI ont compliqué la tâche de leurs utilisateurs : j’ai eu à subir leurs affres, leurs mauvais choix.

Je me serais ennuyée grave dans ce domaine, parce que bien souvent on installe des logiciels à tout faire , genre moissonneuse-batteuse, et le boulot consiste à les configurer.. Les pirates n’ont plus qu ‘à chercher les vulnérabilités.

Si vous voulez résoudre un problème particulier, il y a des chances qu ‘on vous propose une autre usine à gaz, alors qu’un script de 20 lignes résoudrait le problème..

Un autre aspect des systèmes temps réel qui pilotent un « système  » est la simulation.

Il est possible de modéliser ce système : une entrée ou plusieurs, une sortie.

Entre les deux une fonction de transfert , que l’on peut calculer par diverses analyses sur le système lui même , ou à défaut : déterminer par des équations représentant les lois physiques ( mécaniques, cinématique, thermiques, aérodynamiques, hydrauliques ) qui régissent ce système.

Cette fonction sera exécutée par un PC indépendant ( Fortran recommandé ainsi qu’ OS temps réel ), et pilotée par notre carte embarquée, en temps réel, formant un système bouclé, pour valider ses réglages et ses performances..

Ainsi, à défaut d’avoir un vrai système à piloter sous la main, on peut laisser vagabonder notre imagination et modéliser un  » système  » pour voir comment réagit notre système embarqué. C’est aussi un moyen de le stresser pour voir son comportement aux limites. Limites qu ‘on aura du prévoir dans le logiciel..

Un exemple simple serait un régulateur de vitesse pour automobile, pour avoir une vitesse constante quelle que soit la pente de la route ( inconnue du système embarqué..) . Mais aussi tous les problèmes de robinets et de baignoire qui fuit., pour commencer avec du basique..

Les PROS utilisent Symulink et Matlab ( logiciels propriétaires ). Dans l’aviation et l’automobile, ça commence à la conception. On ne va pas attendre que l’avion soit réalisé pour déterminer le système informatique de pilotage et le tester, quitte à affiner les réglages après les premiers essais en vol, qui embarquent une montagne d’électronique et d’informatique, pour analyser tous les paramètres..

En logiciels libres nous avons le couple Scicos & RTI Lab ( avec Scilab clone libre de Matlab.

http://www.scicos.org/demos.html

http://www.scilab.org/

Depuis la création de ce blog, j’ai enfin trouvé une idée d’ application pratique : Le Vélo à Assistance Electrique.

400w-b

400w-b

Tiens ! voilà que ca me ramène aux chaines de mesure et de régul sur les machines synchrones.. et je n’imaginais pas qu ‘il y ait autant de bricoleurs de génie et ausssi passionnés.

Enfin par un concours de circonstances, j’ai rencontré une personne qui travaille sur les DAC : les convertisseurs digital analogique pour les lecteurs de CD haut de gamme.

De quoi renouer avec ma passion de la Hifi que j’avais mise un peu de coté.

Le pilotage des lecteurs de CD , mais aussi les DACs et le filtrage numérique, font appel à des DSP : Digital Signal Processor.

Et plus récement j’ai découvert les nouveaux amplis classe D , des amplis numériques avec des performances étonnantes, qui utilisent des étages de sortie MosFETs en Tout ou Rien.

Adios les problèmes de non linéarité des composants et de Bias, qui rendent la réalisation d’un ampli Hi Fi assez complexe..

La HiFi fait donc bien partie des sytèmes à microprocesseurs et systèmes embarqués, depuis la sortie des lecteurs de CD Audio.

Mais j’ai un faible pour les amplis Vintage des années 70 80, quand les fabricants de matériel Hifi , se livraient une guerre sans merci pour conquérir ce marché.

Ce n’est plus le cas aujourd’hui, ils nous mettent volontairement des « mistigris » à coté de composants très performants, pour protéger leur haut de gamme et justifier des tarifs prohibitifs.
En plus la moyenne gamme est victime de l’obsolescence programméee, pour que les gens remplacent leur matériel..

21 commentaires pour A propos de l’auteur

  1. Bonjour pour commencer félicitations pour votre site internet que j’ai parcouru avec plaisir. Le présent article m’a beaucoup plu car je le trouve bien rédigé et pertinent. d’habitude je ne commente pas les sites mais aujourd’hui je prends quelques instants pour le faire. Je vous contacterais pour faire un échange de lien avec mon propre site. En espérant vous lire bientot.

  2. jacqueline73 dit :

    Merci de votre commentaire et de vos compliments qui m’encouragent à continuer.

    Je ne sais par quel hasard WordPress a mis votre commentaire dans les indésirables, aussi je ne vous ai pas répondu tout de suite.

    Voilà c’est réparé, toutes mes excuses, à vous qui avez pris le temps de mettre un commentaire.

    Cordialement

  3. Bonjour,

    je me permet de vous contacter via votre site internet car je ne retrouve plus votre numéro de téléphone.
    J’ai pu contacter le fournisseur des moteurs électrique pour votre projet de freinage pour remorque…Pouvez vous me recontacter pour que l’on discute de tout cela ?

    Cordialement,

    Ludotechnologie.

  4. jacqueline73 dit :

    Ludo, je vous rappelle lundi.

    J’étais bien occupée à dessiner avec HeeksCAD, le boitier d’asservissement, pour le pilotage des contrôleurs des moteurs roues de la remorque.

    Il y aura le freinage électrique sur résistance avec les moteurs, et un asservissement mécanique pour le freinage par les freins à disque ( le frein de secours en cas de défaillance de l électronique ou de son alimentation..

    Plus une commande électrique de freinage avec les freins à disque, télécommandé par radio depuis le guidon du vélo, avec un moteur pas à pas.. ( batterie indépendante )

    La télécommande permettra le blocage de la remorque, en cote, comme un frein à main, lorqu ‘on attend que la file de voiture redémarre, avec un déblocage rapide.

    Le VAE est un bon sujet d’étude sur les systèmes embarqués, et donne l’occasion de sortir de la seule programmation.

  5. Je vois sur votre blog ou sur cyclurba que vos projet prennent forme, mais que vous partez dans beaucoup de directions différentes et des fois même contradictoire…

    N’hésitez pas à me contacter ou même à venir me voir, je pourrais vous conseiller / informer / orienter et vous faire essayer différents système de motorisation afin que vous puissiez bien voir quels sont les différence possible entre un modèle et un autre….gratuitement bien entendu 😉 ! Et ainsi vous pourrez argumenter d’autan plus vos articles sur cyclurba ou votre blog…

    Mon modèle de moteur pédalier que je fabrique a déjà cela comme voyage :

    Une aventure de la Savoie au Japon…http://florianbailly.typepad.com/
    Environs 25000 km en 1an dans l’agglo de chambéry métropole avec une entreprise de livraison à domicile > http://www.cycl‘aubaine.com (il est même revendeur de la marque teith technologie…)

    J’ai également des moyeux Nuvinci (je les installent sur tous mes modèles depuis quelques temps.)

    Cela fais plusieurs années que je construit des vélos électriques je peux vous répondre clairement à la plupart des questions que vous souhaiteriez me poser ( sauf sur la bidouille de l’électronique du contrôleur… car à ce sujet la vous en connaissez bien plus que moi 😉 !!

    Mais pour ce qui est de la construction d’un vélo électrique >> venez me voir pour que l’on discute de votre projet, vous en jugerez par vous même…

    Cordialement,

    BURDIN Rodérick.

    LUDOTECHNOLOGIE
    8 route de la peysse
    73000 BARBERAZ
    tél: 06 61 59 08 93
    website: http://www.ludotechnologie.fr

  6. jacqueline73 dit :

    Bonjour Roderick !

    Je reconnais volontiers que ça part dans tous les sens.

    C’est principalement du au fait que j’ai beaucoup de mal à trouver qqun pour la réalisation mécanique. Les quelques boites que j’ai consulté, pour avoir une réalisation de qualité professionnelle ne m’ont même pas répondu. Y compris à mes demandes de devis. A croire que leurs carnets de commandes sont pleins. Tant mieux pour eux !
    Mais je regrette bien d’avoir du quitter les Pays-Bas.

    Qu ‘on ne s’étonne pas qu ‘on soit à la traîne par rapport aux autres pays.

    Une grande enseigne de la région a même refusé de m’installer une roue Nexus sur mon vélo , acheté chez eux. Ils préféraient me vendre un autre vélo. tant pis j ‘acheterais ma roue en Allemagne sur Internet.

    Il m’arrive aussi de calculer :

    Un kit moteur roue ( plus facile à installer pour moi ) très puissant pour pouvoir tracter une remorque en cote, me couterait presque aussi cher que le vélo de ville de Theith Technologie avec un moteur pédalier très coupleux, en 36 V, tout en restant légal., et probablement plus effiicace, à voir ce que font certains avec des VTC ou VTT équipés du même moteur.. Qqun a fait Compostelle par le chemin, avec son Compy, c’est pas rien .

    J’attends également que Texas Instruments ait sorti sa nouvelle carte de commande moteur , pour pouvoir piloter le moteur avec une commande de type FOC, qui permet de gagner 20 points de rendement. Une carte prête à l’emploi, de bonne qualité, avec toute la doc et le support logiciel.. Plus simple pour moi que de faire réaliser un circuit imprimé unitaire..

    En ce qui concerne la remorque ( assistance traction et freinage , ce dernier point étant plus indispensable pour la sécurité ) , j’ai trouvé depuis un autre type de capteur qui rend la réalisation beaucoup plus simple.

    Récemment il m’est venu une autre idée, en voyant sur le net des vélos originaux : les Basman. : une alternative à la remorque : le vélo side car.

    Je suis passionnée par les motos et voitures anciennes dont j’ai gardé la nostalgie.. De 0 à 6 ans, avec mes parents on se balladait avec la moto familliale. dans une autre région j’avais des amis collctionneurs qui restauraient motos et voitures. Aujourd’hui je n’ai plus de contact avec ce milieu..

    Vélo side car électrique

    Là aussi je trouve qu ‘on est très en retard par rapport aux Pays du Nord.

    Bin oui ça peut être un plaisir supplémentaire d’avoir un vélo Custom ou Vintage et il y a un marché : il suffit de regarder les vidéos de quelques manifestations ou rassemblements sur Youtube.

    Dans une société qui essaye de tout niveller et ou la vitesse et le moteur essence sont de plus en plus mis au banc, pourquoi un vélo devrait être soit uniquement sportif high tec ou banal et triste, au point qu ‘on se fait remarquer avec un vélo d’avant guerre restauré .ou parce qu ‘on emmène son chien dans une remorque.

    Tous les vélos se ressemblent. Quelle tristesse.

    Dans ma ville il y a plus de VAE en attente dans les boutiques, que dans la rue.. Il faut que ce soit Renault qui produise un vélo un peu original, Mais à quel prix ! forcément ils restent en magasin..

    C’est pareil pour le troisième age , qui se déplace sur des fauteuils électriques, à 2 km/h, avec 20 kg de batteries et des roues de 3″, hors de prix, alors qu ‘il y a des solutions tricycles assistés plus efficaces.

    Le side pour le vélo Basman , je m’en fous d’y mettre 1 000 € pour le faire réaliser, ça me coutera toujours moins cher avec le vélo qu ‘un kalkhoff ordinaire, qui ne me rendra pas le même service..

    Une autre solution est le cargobike hollandais : on fait un gros chèque et on part avec , mais bon ce n’est pas le même plaisir que de faire une pièce unique..

  7. jacqueline73 dit :

    J’oubliais une précision pour le side.

    La solution retenue par certains fabricants est un gros moteur roue avant ..

    Je pense plutôt à une traction intégrale trois roues motrices avec trois petits moteurs. avec un système électronique qui répartit la traction correctement, dans les virages et pour éviter la marche en crabe. .

    Sur une vidéo j’ai vu un modèle qui avait du mal à prendre les virages serrés , lorsque la roue motrice unique est à l’intérieur..

  8. Ludotechnologie dit :

    JE fabrique des tricycles et des vélos spéciaux…
    Yuba / Bullitt / Tricycles / Triporteurs / Quadricycles / vélo chopper / VTT / VTC/ etc …. et même si ce n’est pas un vélo…

    bref je ne peux malheureusement pas vous envoyer de photos mais vu votre proximité je vous invite à venir essayer ce qui est nettement plus concret que tout le reste…

    cordialement,

    BURDIN Rodérick.

    LUDOTECHNOLOGIE

    • jacqueline73 dit :

      Il ne manque plus que le vélo side car à votre collection. 🙂

      Promis je passe vous voir dès que j’ai reçu mon VAE, parce qu « en vélo sec , avec le chien dans la remorque ( il me suit partout ) ça me fait un peu loin.;

      Effectivement ce sera plus concret..

  9. Ludotechnologie dit :

    A titre d’infos :
    un petit site bien explicatif sur la mesure de couple d’un moteur et la façon de pouvoir comparer des courbes de différents constructeur…

    Cliquer pour accéder à Fonctionnement%20Couple%20moteur.pdf

    Bonne lecture. 😉 !

  10. CHRISTOPHE GRANDJEAN dit :

    Bonjour,

    Je suis arrivé par hasard sur votre blog hifi vintage qui m´a passionné!
    Vous écrivez et décrivez ce que vous faites et ce que vous aimez avec passion, et c´est contagieux! Bravo!
    Après un passage très difficile au niveau personnel avec divorce et perte de quasiment tous mes biens + pensions à payer…la ruine totale…l´idée de pouvoir me refaire une châine hifi me fait récupérer de l´engouement pour les plaisirs simples: écouter de la musique, chiner des pièces aux puces ou sur le net, …et me procure une grande joie.
    J´ai dévoré chacun de vos articles sur le blog et j´aimerais pouvoir vous demander conseil.
    Je vis à Madrid depuis une vingtaine d´année maintenant et je suis en train de chiner un bon ampli, un lecteur de Cd et un tuner.
    J´ai j´ai acheté, sans l´essayer au préalable un ampli Scott 235s qui fonctionne assez bien, mais je ne voudrais pas trop l´utiliser, car en cas de panne…je ne saurais pas le réparer..
    J´ai trouvé sur le web une proposition de plusieurs amplis, mais je suis complêtement perdu, pourrais-je vous demander conseil? m¨autorisez-vous à vous faire parvenir les photos de ces amplis?
    Je me propose, en échange de vous chiner un article que vous souhaiteriez, sur le marché espagnol 😉
    Merci beaucoup,

    Christophe

    • jacqueline73 dit :

      Bonjour Christophe

      Votre commentaire aurait été mieux placé sur le blog consacré à la HIFi Vintage.

      Les divorces , ça finit généralement par la ruine et quelques années de vache enragée.
      Pour être passée par là, c’est une force de savoir qu’on peut tout recommencer à zéro, pourvu qu’on ait un boulot, quitte à faire un peu de camping dans son apparte.

      Puis à Madrid, comme à Barcelone ( où j’ai passé quelques années ), c’est pas franchement une punition que de se retrouver célibataire.

      Hélas je ne connais aucun des amplis de votre liste, pour vous répondre je serais obligée de passer de longues heures à faire des recherches et des comparaisons.

      En fait ça dépend surtout de ce qu’on trouve sur le marché de l’occase.

      Par exemple je ne serais jamais allée chercher un Marantz PM 72, un modèle assez rare, sur lequel on ne trouve aucun avis ( à part le mien), seulement l’avis du vendeur, mais digne de confiance.

      Mais avant d’acheter : première chose : j’ai trouvé le manuel de service. ( indispensable )

      Voir sur HiFi Engine , contre inscription

      J ‘ai épluché les caractéristiques, détaillées et très prometteuses : Y a pas de mystère, un ampli de qualité a des taux de distorsion très bas qq soit la fréquence et la puissance. ( Souvent on ne donne la distorsion qu ‘à 1000 Hz et à faible puissance )

      Ensuite j’ai examiné le schéma : pas de module STK souvent de piètre qualité pas toujours faciles à trouver , mais des transistors classiques pour l’étage de puissance et ses drivers..

      Enfin grâce à quelques photos, le câblage : il doit être simple si l’appareil est bien conçu.

      ( j’ai eu un ampli tuner Scott R36S, le câblage : un vrai fouillis de torons de fils rigides, en plus pas de schéma ( introuvable ) , en faisant du repérage pour détecter une panne dans le clavier, un fil a cassé , impossible de savoir où il allait. Pour changer un transistor de sortie, il aurait fallu décâbler la moitié de l’ampli pour y accéder, voilà ce que j’essaye d’éviter ).

      Câblage simple et accessibilité.

      C ‘est vraiment du boulot, chaque fois, d’autant plus pour toute une liste d’appareils, alors qu’on ne verra pas un de ces modèles dans les annonces d’ici trois ans ou qu’on va le louper ou arriver trop tard… ou bien rater un ampli super qui n’est pas dans la liste des modèles recherchés..

      Ne sachant plus où mettre mes appareils , j’ai aussi un peu laissé tomber la recherche de nouveaux appareils d’autant plus que je me suis faite arnaquer pour le dernier : le chèque a été encaissé et je ne l’ai jamais reçu.

      Désolée de ne pouvoir vous rendre ce service.

      Jacqueline

      • CHRISTOPHE GRANDJEAN dit :

        Jacqueline,

        Mille fois merci pour votre réponse. J´ai bien pris note!
        A charge de revanche si je peux vous être utile à Madrid.
        Très amicalement

        Christophe

  11. CHRISTOPHE GRANDJEAN dit :

    Voici la liste des amplis que j´ai trouvé et qui sont en vente.
    Pensez-vous qu´il y a quelque chose de bon parmi tout ça?

    Merci beaucoup
    TECHNICS SU 3150
    TECHNICS SU V65A
    TECHNICS SU 7700 XG
    UNIVERSUM HIFI 8000
    DUAL CV 1400 + CT 1240 (ampli+ tuner)
    DUAL CV 6040
    SONY TA F319R
    OPTONICA SM 3636H)
    OPTONICA SM 3636HB
    OPTONICA SM 1616HB)
    OPTONICA SM 1616+ ST1616 (ampli + tuner)
    NORDMENDE PA 1400+ST (ampli+tuner)
    LUXMAN L4180 euros
    LUXMAN SQ 707160 euros
    YAMAHA A 720 (class A)
    YAMAHA CA 610
    ROTEL RA 971
    FISHER CA 660
    PIONEER A 109
    CONRAD KD 261
    SANSUI A 40
    AMPLI + tuner
    ROTEL RX 300
    ROTEL RX 402
    MARANTZ SR 810
    AKAI AA 1135
    TECHNICS SA 5170K
    PHILIPS AH606
    LUXMAN R 1030.B
    NAD 7150

  12. LE RET dit :

    Bonjour,

    Merci pour votre blog. J’ai pris connaissance de votre article sur les Capteurs Hall. Peut-être auriez vous une solution sur mon problème sur lequel je reste bloqué ……….

    J’utilise actuellement un moteur brushless sensorless. Il faudrait que je puisse améliorer la souplesse à faible vitesse et lors des ré accélérations et d’éviter ce qu’on appelle le « cogging » d’ou l’appel aux capteurs hall (moteur sensorled).

    On en trouve pas sur le marché avec un KV inférieur à 300.

    Il existe sur le marché des capteurs que l’on peut ajouter mais ce n’ai pas très fiable.

    Auriez vous une adresse, un site, un construction ou même une solution fiable qui me permettrait d’avancer dans mon projet.

    D’avance merci pour votre réponse.

    • jacqueline73 dit :

      Bonjour

      Le cogging, c’est l’effort pour tourner le rotor d’un pole à un autre, important surtout pour les générateurs type éolienne, sinon il faut un vent très fort pour qu’ils commencent à tourner . Plus le pas polaire est élevé (en ° , faible nombre de poles ) plus le cogging est important.

      On peut prendre exemple sur des moteurs ouverts pour y installer des capteurs hall (il y a un site DiY pour la fabrication de moteurs PmSM où on peut voir comment il les ont montés ).

      Après pour un moteur l’idéal est d’utiliser un contrôleur à cde vectorielle ou sinusoidale , au lieu d’une commande trapézoidale qui ne donne pas un couple constant et optimum. voir Sinwave controler.

      Cordialement

  13. Bonjour et merci pour toute l’énergie qui transparait à travers votre site et qui m’encourage à continuer mes recherches dans un domaine que je découvre à peine…

    Je cherche à réaliser une génératrice électrique à partir d’un vélo pour me permettre d’être autonome en électricité lors de projections cinéma en extérieur (ce projet s’appelle Cinécyclo et nous avons un site web que je vous invite à visiter http://www.cinecyclo.com). J’ai eu l’occasion de réaliser ce type de projection au Sénégal et compte y retourner l’an prochain pour un plus gros voyage. Par ailleurs, j’ai monté une association dont le but sera de faciliter l’accès à la culture grâce à ce genre d’innovations.

    Bien que ce ne soit pas du tout mon domaine, j’ai réalisé beaucoup de recherches et, avec l’aide de quelques personnes, j’ai pu réaliser quelques tests concluants avec des moteurs brushless 24v 250W détourné en dynamo (tension ensuite régulée avec un régulateur solaire pour recharger des batteries 12V 9Ah AGM, tension ensuite convertie en 220v idéalement). Pour fixer le vélo, nous utilisons une structure de home-trainer.

    Tout ce système fonctionne et l’on peut trouver sur internet pas mal d’exemple de ce type de réalisation. Mais j’aimerai franchement pouvoir optimiser notre matériel pour correspondre à un cahier des charges assez spécifiques : à commencer par le fait que je vais transporter ce matériel sur plus de 3000km au Sénégal l’an prochain ! ( = légèreté, résistance, peu d’entretien, efficace…)

    Il me faut donc trouver la « cocktail » adéquat pour :
    – la production d’électricité à partir d’un vélo (je regarde actuellement du côté des moteurs « outrunner » utilisé en modélisme et l’utilisé par friction contre ma roue de vélo)
    – la régulation de cette énergie
    – son stockage
    – sa conversion (nous utiliserons environ 100W de matériel entre le son et l’image, le tout alimenté en 12 ou 19V.).
    – l’indication destinée au Cycliste (plus vite, moins vite…)

    Dans un premier temps, est-ce que je me trompe en disant qu’un cycliste adulte en forme peut, à lui seul, générer 100W d’énergie et que, du coup, je peux imaginer utiliser pour 100W de matériel en sortie ? J’imagine que, quelques soit la génératrice, le type de stockage et de restitution, il y a des pertes… Comment bien effectuer ce calcul ?

    Concernant le stockage, je suis séduit par les Supercondensateurs dont on peut trouver de formidables exemples ici : http://www.electricpedals.com/ et là https://www.crowdsupply.com/blueshift/helium. Ils possèdent une meilleure tolérance aux écarts de température, peuvent être rechargés très rapidement, ne demandent pas d’entretient, sont plus « écologiques » que des batteries classiques même si ils ont aussi leur petits inconvénient (capacité vs volume / prix) Utiliser des supercondos pourrait cependant m’éviter d’avoir à gérer une batterie, qui, dans le cas de ma génératrice, ne pourrait être rechargé qu’occasionnellement et de manière soudaine (pas idéal pour les ménager).

    Seriez-vous disposé à me donner quelques conseils ou votre opinion sur un tel projet ? N’hésitez pas à m’écrire en privé si vous souhaité en savoir d’avantage sur mon association, notre futur voyage et notre implication en France. C’est une toute jeune asso qui vient de se créer, donc, tout est possible ! 🙂 Qui sait, c’est peut-être un défi qui vous intéresserez également…

    Bien cordialement,
    Vincent.

    • jacqueline73 dit :

      Bonjour Vincent.

      Quelques réflexions sur votre projet.

      100 W , il faut être un bon sportif pour tenir plus d’une heure. Sur les machines dans les salles de gym, j’ai regardé : 100 W en pointe, et 60 W sur 20 à 30 mn. Un grand champion cycliste du tour de France, ça sort 300 W

      Les moteurs outrunners du modélisme ont l’inconvénient de tourner très vite ( fort kv, si je ne me trompe pas ), par friction ça va patiner à cette puissance, il faudrait probablement mettre un multiplicateur qui va bouffer pas mal d’énergie ( rendement < 1 ) dans cette gamme de puissance c'est assez cher ( je me réfère aux réducteurs (de l'ordre de 100 x ) qu'il faudrait installer sur un moteur Outrunner d'avion utilisé sur un vélo électrique ), c'est même très dissuasif. Puis ça forcerait énormément, pour lancer la "machine" même à vide ( pour arriver à la tension nominale ) avec l'inertie. Ces moteurs ( très puissants et pas chers ) sont prévus pour un entrainement direct d' une hélice, qui assure également leur refroidissement indispensable.

      Je pense qu'il vaut mieux regarder du coté des moteurs classiques de VAE , sans réducteur ( not geared) et sans roue libre ( ils font au moins 250 W, ça suffit. Pour l'utiliser en générateur, pas besoin de jante , ni de rayon. Ainsi on peut le monter sur n'importe quel vélo ( de n'importe quelle taille si écartement des becs standard ) en enlevant la roue AR et en le mettant sur "cales".

      L'avantage d'un super condensateur est sa recharge rapide à très fort courant : ça ne sert à rien si on doit recharger en pédalant sur un vélo et surtout c'est beaucoup trop cher, à plus forte raison si on en a pas l'usage.

      Pour éviter les problèmes de batteries de VAE ( légères, forte capacité, mais fragiles et risques d'explosions ), je regarderais du coté des batteries plomb gel, sans entretien de forte capacité car il ne faut pas les décharger à plus de 20 % pour augmenter le nombre de cycles et la durée de vie ( et il reste une réserve jusqu 'à 50 % à utiliser exceptionnellement ).C'est lourd, mais comme on fait du sur place, on se moque du poids ) On peut alors utiliser un régulateur de charge de type éolien ( les solaires sont plus compliqués ). On peut combiner avec un chargeur secteur. Puis un vrai convertisseur ( pure sinusoidal ) 12 V CC vers 220 V ~ et un indicateur de charge.

      Voilà ce que je peux vous dire, mais il y a longtemps que je n'ai pas replongé dans ce sujet..

      Cordialement

      • Merci pour ce condensé de réponses qui confirment les choix dans certains cas, nous aiguillent dans d’autres ! C’est un plaisir de voir avec quelle clairvoyance vous arrivez à imaginer ce projet en si peu de temps.

        MOTEUR :
        VAE : Très bonne idée, on va tester ça.

        RÉGULATEUR :
        Pour les régulateurs d’éolien, arriveriez-vous à me conseiller un modèle plutôt qu’un autre ? Je pensais à un MPPT comme ils le conseillent sur ce site : http://www.plaisance-pratique.com/choisir-un-regulateur-mppt-pour car il est vrai que la cadence et la puissance de la tension qu’on est capable de fournir rappel celles de l’éolien (on pédale, on accélère, on change de cycliste, on fait une pause, on reprend…).

        BATTERIE :
        Concernant le choix de la batterie, Gel offre une bonne solution mais même si nos projections impose un pédalage en statique, pour nous rendre sur le lieu de projection, je vais tout de même utiliser mon vélo et donc transporter du matériel. Je cherche donc une batterie de faible capacité uniquement pour faire tampon (cela est-il vraiment nécessaire ? existe t-il une possibilité d’aller directement d’un régulateur vers un convertisseur ?). Le choix de cette batterie sera déterminé par sa durée de vie compte tenu de son mode d’utilisation (mieux vaut acheter une batterie chère qui dure 5 ans, qu’une premier prix que l’on va fusiller en 4 projections…).

        CONVERTISSEUR :
        On hésitait à investir dans un Pure Sinus, mais votre avis nous à convaincu. Après, n’est-il pas plus judicieux de convertir vers du 19V DC étant donné que le projecteur que j’utilise est alimenté en 19V DC ? (il possède un transfo que je branche dans le 220).

        Merci ! Vincent.

  14. jacqueline73 dit :

    Rebonjour,

    Oui j’ai visité votre site après avoir envoyé mon message. Félicitations pour ce que vous faites.

    Donc le vélo sert aussi de moyen de transport.

    Celui ci pourrait être à assistance électrique pour les trajets, et servir également de générateur lors des projections, avec une batterie commune.

    Pour l’assistance électrique, il faut un contrôleur de VAE.

    Pour la génération de courant, il faudrait débrancher le moteur du contrôleur et le raccorder sur le chargeur de votre batterie, généralement en 220 V 50 Hz. La charge d’une 10 Ah Li-ion ou Lipo sur secteur est très lente ( presque une nuit ).

    Un point noir des VAE, c’est la connectique si c’est pas bien serré, ça chauffe, ça fond, ça défie toutes les normes 🙂 C’est pas trop fait pour être déconnecté et connecté souvent. Et aussi l’étanchéité.

    Il existe des contrôleurs de VAE avec régénération, pour recharger la batterie dans les descentes,( sauf si elle est chargée à bloc ), mais on récupère très peu ( rendement du système global )

    Surtout je ne suis pas sûre que ces batteries puissent fonctionner en batterie tampon ( floating ). Généralement elles sont équipées d’un système électronique BMS, qui mesure la tension de chaque cellule et veille à leur équilibrage. Les batteries sont généralement de 36 ou 48 V pour la traction et 10 ou 13 Ah pour un VAE classique

    Dans votre application, pour la projection la batterie tampon me semble intéressante, elle permet entre autre de se relayer ou de faire une pause, de ralentir, sans perturber la projection avec le régulateur MPTT.

    Dans ce cas il n’est pas nécessaire d’avoir une grosse capacité. Elle sera moins chère moins lourde. Ce sera une 12 V ( et donc on oublie le coté traction qui nécessite 3 batteries en série )

    Pour le branchement en 19 V cc, il manque des infos, sur la nature de ce courant, voire l’électronique dans le bloc transfo. C ‘est pas vraiment standard non plus, contrairement au 220 V 50 Hz. Qui sait si un jour vous n’aurez pas recours à un autre appareil qui marche en 220 V .
    Je vous ai indiqué pure sinus, car c’est ce qui est recommandé pour alimenter des appareils électroniques, bien que le 220V soit souvent redressé, filtré à l’intérieur. Si le signal n’est pas sinusoïdal , il est plein d’harmoniques ( fréquences multiples de 50 Hz et ça peut perturber )

    Pour recharger un smartphone,(on sait jamais) il faudrait ajouter un convertisseur DC DC 12 V 5 V d’au moins 2 A pris sur la batterie ( pour réduire le nombre de conversions AC DC ) .

    Si vous prenez par exemple une batterie de 10 Ah, pour 100 W de consommation en 12 V elle débite 10 A ( rendement du convertisseur ~ 80 % ). Décharge complète en 1 h, mais il ne faut pas faire de décharge complète pour préserver sa durée de vie, on décharge à 30 % maxi, ça fait 18 mn d’autonomie, sans pédaler.. La décharge complète en 1H , c’est considéré comme une décharge rapide qui réduit la capacité utile il faudrait prendre une capacité supérieure

    http://www.energiedouce.com/batterie-agm-victron-energy/646-batterie-solaire-agm-12v-22-ah-haut-de-gamme-victron-energy-3700908500165.html

    12 V 22 Ah => 59 € 5,8 kg ( soit le poids d’une batterie de VAE mais en 48 V 13 Ah )

    Pas trop cher pour faire un essai, et facilement réutilisable pour un autre usage ( exemple lampe de secours à LED 6 Watts )

    Pour le générateur il faut un moteur non démultiplié ( not geared ), sans roue libre ( dès qu’on fait de la génération en descente, sinon le moteur interne ne tourne pas et ne produit rien ), sensorless ( pas besoin de capteurs hall en générateur ).

    Perso je garderais le moteur séparé comme générateur, au lieu de le monter dans la jante AR, ce qui permet de l’utiliser sur un autre vélo : VTT ou autre plus adapté au parcours et au cycliste, voire un VAE avec le moteur d’assistance dans la roue AV ( rien à débrancher, rebrancher coté VAE )..Il est toujours possible de le faire monter ( rayonner ) plus tard dans une jante,( à voir après les essais ) .

    Bonne continuation en attendant de vos nouvelles.

    • Merci pour votre réponse ! Nous avons une réunion technique ce mercredi avec les autres membres de l’association et je parlerai notamment des idées que vous nous suggérez. Si vous le souhaitez en apprendre plus sur notre association, n’hésitez pas à m’écrire à contact@cinecyclo.com. Je pourrai également vous inscrire sur notre infolettre VIP dédiée uniquement aux membres actifs et bénévoles (vous seriez ainsi tenue informé de l’avancé de notre machine !). Si vous le souhaitez bien entendu.
      Bien cordialement, Vincent Hanrion.

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